Sonne le requiem, prélude à une exploration et une contemplation d'un monde passé, dévasté, mort, vide et abandonné. Tout n'y est que désolation, ruines, poussières, gravats, amoncellement interlope. Une plainte lancinante et sinistre, accompagne la visite en guise de kaddish, du métal froissé, tapé, choqué la rythme, un drone profond, lent et sombre en sera la seule mélodie. Reste cette bizarre sensation d'une présence impalpable, d'un résidu de vie, incongru en ce lieu. Sa mémoire spectrale ?
Une plongée chaotique dans mes disques. A chaotic diving into my discs