“Taking drugs to make music to take drugs to” Spacemen 3 Barré à souhait, répétif et hypnotique, flash stroboscopiques, psychédélique bourré aux amphétes, des phosphènes guitaristiques à ne plus savoir qu'en faire, reverbe et delay à tous les étages, approuvé par Julian Cope, boite à rythme anémique et monolitique, bruyant, hululé par nuit de pleine lune, saturation salutaire, foutage de gueule talentueux, spacio-cathartique, pédale wah wah vivante (ceci n'est pas une injure), les Spacemen 3 et Suicide ensemble et en plus allumés et drogués (je suis d'accord c'est difficile à concevoir), vinyle, écouter trop fort, fuzz box indomptée, saignement tympaniques et récurage auditif, défibrillateur en libre accès, rageur et jouissif, faire chier les voisins, jeunesse sonique. Bref indispensable ! Même en étant sourd ! Black Night Burning by A.M