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Dashiell Hedayat - Long song for Zelda (1971)

Une divagation des mots, des métamorphoses physiques.
Un gars qui contemple les novas devient le singe d'un travelo et qui se fait caresser le cul avant de s'apercevoir qu'en fait c'était son nez, nez dans lequel des voitures s'engouffrent en crachant non pas des gaz d'échappement mais de l'héroïne (du coup peut-être qu'elles émettent moins de CO2, un piste à creuser).
Ensuite il drague un chien roux, à la pine bleue, ou sa maitresse rousse aussi, Zelda, sa dulcinée...
À la toute fin, William Burroughs parle, un peu et ça explique beaucoup de choses ...


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La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

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