Accéder au contenu principal

Metronomy - The look (2011)

Toujours à la pointe des sorties, je découvre après 2 ans de présence dans les bacs (et profitant, tel un charognard de haut vol, de la faillite des mégastores vierges pour diminuer, à frais réduits, la place restante sur mes étagères) Metronomy.
Je pense que j'avais fait un acte de protection salvateur face au matraquage médiatique dont ils avaient été l'objet à l'époque: le boycott tant auditif que financier.
Pas d'emballement frénétique non plus, ce n'est pas le disque de la décennie ni même de l'année mais c'est bien fait et exécuté, c'est plaisant à l'oreille, assez frais et paisible.
Et c'est déjà pas mal compte tenu du nombre (trop) important de merdes infâmes et fétides qui (trop) souvent paraissent (après il ne faudra pas se plaindre de crise du disque les cocos !).
De l'easy pop listening en quelque sorte.


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Piero Umiliani - Open space (1970/1973)

De l'insouciance, de la légèreté, un brin de folie et une once de surprise. C'est quitter Rome à bord d'une Alfa Romeo Spider au milieu de la nuit, cheveux au vent, bien accompagné, des bouteilles de Champagne pour tenir la distance. Direction la mer, puis longer la côte, glisser jusqu'au petit matin. La musique à fond jusqu'à ce que ivre d'alcool, de vitesse, de liberté et de fatigue il faille s'arrêter, surtout à cause d'une panne d'essence. Une belle folie, qui en valait la peine ...

Toronto Track Symphony - Livin in da projects (1996)

"You know what I'm talkin' about: playin' music real loud, so the ladies can come over dancin' ..." Tellement simplement entraînant et joyeux qu'on croirait que c'est presque déjà le week-end ...