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A Tribe Called Quest - Find a way (1998)

Y a pas à dire, ça le fait toujours un p'tit ATCQ.
Un fond de R'n'B de bon aloi (pas une merde insipide produite au kilo genre insulaire caribéen ayant migré aux USA), une touche de soul, un beat tranquille, qui le fait bien, une boucle mélodique qui aurait pu être piquée à Roy Ayers; on laisse le barman de service (J Dilla) shaker tout ça.
Ne manque que la touche finale, à savoir les voix, un peu trainant et nasillardes, de nos lascars sus nommés et voilà le travail !


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Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Piero Umiliani - Open space (1970/1973)

De l'insouciance, de la légèreté, un brin de folie et une once de surprise. C'est quitter Rome à bord d'une Alfa Romeo Spider au milieu de la nuit, cheveux au vent, bien accompagné, des bouteilles de Champagne pour tenir la distance. Direction la mer, puis longer la côte, glisser jusqu'au petit matin. La musique à fond jusqu'à ce que ivre d'alcool, de vitesse, de liberté et de fatigue il faille s'arrêter, surtout à cause d'une panne d'essence. Une belle folie, qui en valait la peine ...

Badder than evil - Hot wheels (the chase) (1973)

La disparition du vengeur masqué (mais qui est-il ?). Triste nouvelle, le mystérieux vengeur masqué est mort.  Enfin masqué, il ne l'a pas toujours été, vengeur non plus d'ailleurs. Par contre musicien il l'était. Avec au final une œuvre foisonnante et diverse (pour ne pas dire hétéroclite). Ici il s'implique à visage demi couvert. Sous le pseudonyme d'Andy Badale, soit pas très loin de sa véritable identité ... Au menu un titre qui déchire, du beat qui envoie du lourd, du groove poisseux, un classique des samples de breakbeat. Assez loin de ce qu'il fera par la suite, plus vaporeux. Hélas il est mort, David Lynch est inconsolable, Angelo Badalamenti est mort et c'est triste ...