Accéder au contenu principal

Ludwig Von 88 - Louison Bobet for ever (1987)

Les rois de la pédale volume 2.
Les héros oubliés de la petite reine.
Au menu du jour Louison Bobet.
Louison Bobet avait une tête à chapeau, mais cela ne lui suffit pas, il fallut qu'il fasse le guignol à vélo pour se faire remarquer.
Malheureusement la suite de sa carrière fut moins glorieuse; en effet après avoir arrêté le vélo à 27 ans, il ne trouve pas d'emploi et s'exile à Brie Comte Robert en Seine et Marne.
C'est le début d'une longue agonie qui le voit enchainer les boulots ridicules pour survivre: trieur de noyaux de pêches, enrouleur d'anchois, remplisseur de tube de dentifrice ...
Dépressif, il se réfugie dans la consommation frénétique d'oignons et devient pétomane professionnel et connait un sursaut de gloire en 1968.

Son histoire est joyeusement mise en musique par les Ludwig Von 88 qui ont su mettre en relief son coté écorché vif.

Lien: Ludwig Von 88 - Louison Bobet for ever

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Piero Umiliani - Open space (1970/1973)

De l'insouciance, de la légèreté, un brin de folie et une once de surprise. C'est quitter Rome à bord d'une Alfa Romeo Spider au milieu de la nuit, cheveux au vent, bien accompagné, des bouteilles de Champagne pour tenir la distance. Direction la mer, puis longer la côte, glisser jusqu'au petit matin. La musique à fond jusqu'à ce que ivre d'alcool, de vitesse, de liberté et de fatigue il faille s'arrêter, surtout à cause d'une panne d'essence. Une belle folie, qui en valait la peine ...

Toronto Track Symphony - Livin in da projects (1996)

"You know what I'm talkin' about: playin' music real loud, so the ladies can come over dancin' ..." Tellement simplement entraînant et joyeux qu'on croirait que c'est presque déjà le week-end ...