Ce n'est pas tant Ronnie Richards qui importe mais plutôt la production des Basement Jaxx.
Ils font encore de la house festive certes mais raffinée et racée, ils n'ont pas sombré dans le style pompier qui les caractérisera par la suite; le tournant étant leur premier album Remedy.
Les sorties suivantes ( dont les visuels semblent une fuite désespérée vers du toujours plus laid et encore c'est meilleur visuellement qu'auditivement) font passer l'intégrale de Bézu pour un chef d’œuvre d'élégance et de subtilité c'est peu dire !
Heureusement la crise du disque les rattrape et leur audience se réduit tellement qu'aux dernières nouvelles ils ont arrêté la musique pour se recycler dans la vente de chambres à air increvables dans un petit village de Haute Bavière.
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