Quelques comptines enfantines (Amstramgram, Baba Yaga, pomme de rainette ...) agencées en mode aléatoire, une boucle de piano hypnotique et légèrement variable, un rythme tout simple mais monolithique et néanmoins plus subtil qu'il n'y parait, quelques effets de superpositions, de ténues variations tonales, accentuations infinitésimales et c'est parti pour plus de 17 minutes d'envoutement.
Faut laisser parler son âme d'enfant.
Faut laisser parler son âme d'enfant.
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