"L'intégration c'est de la fusion" voilà ce qui ressort de ce morceau halluciné de Gemini.
Tout y est barré, vrillé, premièrement un soliloqueur déblatère, sur tout et rien (la musique, la condition humaine, la pauvreté, l'intégration, la famille, la fête ...), dans un français surprenant pour un titre house de Chicago puis se met à faire du skat. Ensuite la musique grande partouze entre une rythmique house bancale carrée, un orgue lugubre et paranoïaque qui serine sa mélodie en boucle, une basse jazz monolithique puissante, des percussions et une batterie fantaisistes et organiques qui viennent sans prévenir s'ajouter.
En un mot tout part partout sans logique définie si ce n'est la spontanéité de l'instant.
Un foutoir joyeux et luxuriant sans queue ni tête qui fait douter de la santé mentale du compositeur.
Faut-il s'en plaindre ?
Tout y est barré, vrillé, premièrement un soliloqueur déblatère, sur tout et rien (la musique, la condition humaine, la pauvreté, l'intégration, la famille, la fête ...), dans un français surprenant pour un titre house de Chicago puis se met à faire du skat. Ensuite la musique grande partouze entre une rythmique house bancale carrée, un orgue lugubre et paranoïaque qui serine sa mélodie en boucle, une basse jazz monolithique puissante, des percussions et une batterie fantaisistes et organiques qui viennent sans prévenir s'ajouter.
En un mot tout part partout sans logique définie si ce n'est la spontanéité de l'instant.
Un foutoir joyeux et luxuriant sans queue ni tête qui fait douter de la santé mentale du compositeur.
Faut-il s'en plaindre ?
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