Chez Treha Sektori on suppure, pas vraiment la joie de vivre c'est certain mais plutôt l'angoisse, l'introspection maladive, le tourment morbide, la noirceur et l’avilissement.
Point de lumière ni d'espoir, ce sont l'obscurité et l'affliction qui règnent en maitresses tout au long de cet album, lent et pesant, au mieux peut-on espérer une plainte, un gémissement, égarés, perdus dans un canevas de drones plombés.
Un chant guttural de désolation, funèbre et gris sera vu comme une consolation de l'âme, une pulsation sera perçue comme des coups, libérateurs montrant que le corps n'est pas mort, qu'il ressent encore.
Mais pourquoi continuer, s'acharner ...
Point de lumière ni d'espoir, ce sont l'obscurité et l'affliction qui règnent en maitresses tout au long de cet album, lent et pesant, au mieux peut-on espérer une plainte, un gémissement, égarés, perdus dans un canevas de drones plombés.
Un chant guttural de désolation, funèbre et gris sera vu comme une consolation de l'âme, une pulsation sera perçue comme des coups, libérateurs montrant que le corps n'est pas mort, qu'il ressent encore.
Mais pourquoi continuer, s'acharner ...
Commentaires
Enregistrer un commentaire