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Burnt Friedman & The Nu Dub Players - It's thunder (2000)

Une histoire de tonnerre, de tempête, l'impression d'une chevauchée dans la tourmente, mais en version pacifiée.
Puis cette rythmique qui s'insinue, qui chemine et qui rappelle quelque chose de déjà entendu ...
Et puis d'un coup, bon sang la révélation, c'est un peu le "Riders on the storm" des Doors dont on aurait ralenti, coupé et mis en boucle la basse et gardé les cymbales et le coup de caisse claire, juste avant que Jim ne dise son premier "riders" (d'ailleurs à 35" ne jurerait-on pas entendre un riders soufflé d'une voix d'outre-tombe).
Non pas un plagiat, ni une relecture, mais plutôt une inspiration, une citation à partir de laquelle Burnt Friedman et ses acolytes inventent une nouvelle histoire où douceur, grésillements, mélodie envoutante et rythmique hypnotique se mêlent pour narrer un orage en devenir ...


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