Une bonne claque que cet album des Daft Punk !
Quelque chose de frais, alliant le putassier racoleur (Burnin', Around the world dans une moindre mesure) et le brut de décoffrage jouissif (Rollin' & Scratchin', Rock'n roll).
Tout n'est pas parfait et il y a un peu de remplissage par moments, mais il y a aussi de véritables tueries soniques telles ce Rollin' & Scratchin'.
Un beat pilon primitif, pas toujours bien calé, qui ne relâchera la pression que quelques secondes de-ci de-là, un ersatz d’oscillation qui énerve bien, un charley qui se prend pour un chien dans un jeu de quilles et puis cette espèce de montée mi acid mi hurlement, véritable solo de guitare bruitiste de la fin du siècle dernier, qui plonge l'auditeur dans une envie de frénésie gesticulatoire incontrôlée qui ferai passer un épileptique pour un papy sirotant sa tisane.
Tout cela ensemble ou en alternance, jusqu'à l’arrêt de quasiment tout ces éléments, sauf ce hululement hypnotique, là le manque se fait sentir, il faut une autre dose d'adrénaline, bon princes les Daft en remettent une couche.
Indispensable !
Après cet album les deux membres de Daft Punk ont été kidnappés par des mérous géants alors qu'ils skiaient près de La Bourboule. Leur maison de disque effarée les remplaça par deux gars masqués avec des casques, leur musique aussi fut remplacée par une resucée mi-disco frelatée mi pop de mauvais goût des années 80. Des initiés les ayant vus sans leurs casques auraient reconnu les membres du combo punk Début de Soirée, ceci expliquant cela.
Quelque chose de frais, alliant le putassier racoleur (Burnin', Around the world dans une moindre mesure) et le brut de décoffrage jouissif (Rollin' & Scratchin', Rock'n roll).
Tout n'est pas parfait et il y a un peu de remplissage par moments, mais il y a aussi de véritables tueries soniques telles ce Rollin' & Scratchin'.
Un beat pilon primitif, pas toujours bien calé, qui ne relâchera la pression que quelques secondes de-ci de-là, un ersatz d’oscillation qui énerve bien, un charley qui se prend pour un chien dans un jeu de quilles et puis cette espèce de montée mi acid mi hurlement, véritable solo de guitare bruitiste de la fin du siècle dernier, qui plonge l'auditeur dans une envie de frénésie gesticulatoire incontrôlée qui ferai passer un épileptique pour un papy sirotant sa tisane.
Tout cela ensemble ou en alternance, jusqu'à l’arrêt de quasiment tout ces éléments, sauf ce hululement hypnotique, là le manque se fait sentir, il faut une autre dose d'adrénaline, bon princes les Daft en remettent une couche.
Indispensable !
Après cet album les deux membres de Daft Punk ont été kidnappés par des mérous géants alors qu'ils skiaient près de La Bourboule. Leur maison de disque effarée les remplaça par deux gars masqués avec des casques, leur musique aussi fut remplacée par une resucée mi-disco frelatée mi pop de mauvais goût des années 80. Des initiés les ayant vus sans leurs casques auraient reconnu les membres du combo punk Début de Soirée, ceci expliquant cela.
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