Une basse à déchausser des dents sans trop d'efforts, d'inquiétants drones qui rôdent, des réverbérations aussi brusques qu'imprévisibles (en même temps des réverbérations sont logiques avec un titre évoquant les miroirs), la voix sèche et lointaine.
Pas de doute nous sommes dans une contrée désertique, pas très loin de la folie, de la schizophrénie, vraisemblablement à cause de la multiplication des "moi" due aux miroirs; paradoxalement ces nombreux "moi" confinent à la solitude.
La solitude dans la multiplicité.
Inquiétant le dub version Godflesh.
Pas de doute nous sommes dans une contrée désertique, pas très loin de la folie, de la schizophrénie, vraisemblablement à cause de la multiplication des "moi" due aux miroirs; paradoxalement ces nombreux "moi" confinent à la solitude.
La solitude dans la multiplicité.
Inquiétant le dub version Godflesh.
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