Des grillons cybernétiques stridulent nocturnement, un plongeur sous marin s'est un peu planté d'endroit et fait entendre sa respiration mécanique à l'air libre, une lente et lourde percussion à la fois immuable et fascinante résonne, des vagues sonores vont et viennent et puis tout s’assourdit, s’arrête presque ne laissant planer qu'un bruissement diffus jusqu'à ce que la mécanique se remette à fonctionner tout aussi régulière qu’auparavant puis que la séquence précédente se reproduise.
Les taux des nuits lentes de la Société du Silence sont étrange mais intrigantes et immersives (finalement le plongeur il avait sa place).
Les taux des nuits lentes de la Société du Silence sont étrange mais intrigantes et immersives (finalement le plongeur il avait sa place).
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