Microlith propose une exploration des stations du métro de Berlin.
Bon, à moins que le métro de Berlin soit foncièrement différent de celui de Paris il raté son exercice.
Je m'explique il n'a pas réussi à retranscrire l'odeur prenante, subtil mélange d'urine, de transpiration, de vapeurs d'alcool et de cigarette froide si caractéristique du lieu; de même la promiscuité, la sur-densité de population aux heures de pointe ne se ressent pas, tout comme la lumière blafarde, les affiches criardes et vulgaires, du bruit omniprésent et strident.
Musicalement il s'agit d'électro à l'ancienne, sautillante, bleepée, acidifiée, assez aérienne pour personnifier un lieu essentiellement souterrain, un métro mélancolique et un peu rêvé.
Bon, à moins que le métro de Berlin soit foncièrement différent de celui de Paris il raté son exercice.
Je m'explique il n'a pas réussi à retranscrire l'odeur prenante, subtil mélange d'urine, de transpiration, de vapeurs d'alcool et de cigarette froide si caractéristique du lieu; de même la promiscuité, la sur-densité de population aux heures de pointe ne se ressent pas, tout comme la lumière blafarde, les affiches criardes et vulgaires, du bruit omniprésent et strident.
Musicalement il s'agit d'électro à l'ancienne, sautillante, bleepée, acidifiée, assez aérienne pour personnifier un lieu essentiellement souterrain, un métro mélancolique et un peu rêvé.
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