1111ème post, quand même.
Au menu du roboratif techno allemand, rigoureux, carré, sec et râpeux. Austère pourrait-on dire un peu hâtivement et vainement car en fait il n'en est rien. Le morceau est en évolution constante, ça tournoie, ondule, sinue tel un serpent sonore cherchant à s'insinuer subrepticement. Puis sans crier gare arrive un piano martelé qui semble presque échappé du Go de Moby et qui à plusieurs reprise déboule pour amener un brin de folie, comme une réminiscence de samba décadente.
Une histoire d’émergence soudaine en quelque sorte.
Et puis tout part en couille dans une sorte de psychédélisme électronique débridé avec des sons, stridences et feulements jaillissant de partout simultanément avant un retour à la sérénité.
Au menu du roboratif techno allemand, rigoureux, carré, sec et râpeux. Austère pourrait-on dire un peu hâtivement et vainement car en fait il n'en est rien. Le morceau est en évolution constante, ça tournoie, ondule, sinue tel un serpent sonore cherchant à s'insinuer subrepticement. Puis sans crier gare arrive un piano martelé qui semble presque échappé du Go de Moby et qui à plusieurs reprise déboule pour amener un brin de folie, comme une réminiscence de samba décadente.
Une histoire d’émergence soudaine en quelque sorte.
Et puis tout part en couille dans une sorte de psychédélisme électronique débridé avec des sons, stridences et feulements jaillissant de partout simultanément avant un retour à la sérénité.
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