C'est vendredi, c'est permis, c'est chaud, c'est disco !
Chouette !
Enfin il va toutefois mettre quelques bémols.
On est très loin des gais lurons d'Ottawan et de leur DISCO insouciante.
Place ici à de la "disco" tourmentée, déjà à cause du contexte, Johnny Lydon/Rotten y raconte l'agonie de sa mère mourant du cancer.
D'entrée ça plombe lourdement l'ambiance ...
Musicalement c'est loin des cotillons/coussins péteurs/chenille qui redémarre pour la tendance disco beauf ou de l’hédonisme torve et moite des clubs new yorkais pour la tendance plus "gaie".
Au menu basse menaçante dub qui tourne, guitare acerbe, acide qui vrombit , rythme sec et cassant qui n’enjôle pas, voix nasillarde, braillarde et fielleuse qui crache sa tristesse.
Pas de doute ça sent la mort ...
Chouette !
Enfin il va toutefois mettre quelques bémols.
On est très loin des gais lurons d'Ottawan et de leur DISCO insouciante.
Place ici à de la "disco" tourmentée, déjà à cause du contexte, Johnny Lydon/Rotten y raconte l'agonie de sa mère mourant du cancer.
D'entrée ça plombe lourdement l'ambiance ...
Musicalement c'est loin des cotillons/coussins péteurs/chenille qui redémarre pour la tendance disco beauf ou de l’hédonisme torve et moite des clubs new yorkais pour la tendance plus "gaie".
Au menu basse menaçante dub qui tourne, guitare acerbe, acide qui vrombit , rythme sec et cassant qui n’enjôle pas, voix nasillarde, braillarde et fielleuse qui crache sa tristesse.
Pas de doute ça sent la mort ...
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