Imagine Radiohead dépressif sous codéine et pentothal qui d'un coup se ferait un p'tit rail avec des amphètes en plus juste pour voir si ça file un coup de speed.
Les Warlocks c'est un peu ça en pire (surtout avec ce titre), de la guitare de junky cramé jusqu'à l'os avec autant de fuzz et de reverb qu'il est possible d'injecter.
Tout commence calmement pourtant, guitare sèche pépère pendant 15 secondes, puis ça tourne shoegaze avec riffs plombés, batteur mou et hululements humain. Ce n'est qu'un début, 6 minutes et quelques plus tard (oui j'ai oublié de préciser que le morceau dure pas loin de 11 minutes), ils se disent que finalement c'est dommage d'avoir une puissance de feu phénoménale et de ne pas s'en servir.
Du coup chacun commence à s'exciter pour un final en forme d'une apocalyptique partouze sonore (qui a du rendre leur ingé son, s'ils en avaient un, sourd ou dépressif) faisant passer les Spacemen 3 et les Cramps réunis pour des baltringues.
Bref un trip indispensable !
Les Warlocks c'est un peu ça en pire (surtout avec ce titre), de la guitare de junky cramé jusqu'à l'os avec autant de fuzz et de reverb qu'il est possible d'injecter.
Tout commence calmement pourtant, guitare sèche pépère pendant 15 secondes, puis ça tourne shoegaze avec riffs plombés, batteur mou et hululements humain. Ce n'est qu'un début, 6 minutes et quelques plus tard (oui j'ai oublié de préciser que le morceau dure pas loin de 11 minutes), ils se disent que finalement c'est dommage d'avoir une puissance de feu phénoménale et de ne pas s'en servir.
Du coup chacun commence à s'exciter pour un final en forme d'une apocalyptique partouze sonore (qui a du rendre leur ingé son, s'ils en avaient un, sourd ou dépressif) faisant passer les Spacemen 3 et les Cramps réunis pour des baltringues.
Bref un trip indispensable !
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