Accéder au contenu principal

Synthesis - City song (1976/rééd 2002)

Une vision estivale, ensoleillée et insouciante de la ville.
Une ville où il fait toujours beau et chaud, une ville où circuler est facile et fluide, de larges avenues bordées d'arbres le long desquelles promène une foule dilettante.
Une ville où les terrasses de café pullulent et où il fait toujours bon y siroter un cocktail ou un café.
Une ville où il y a des disquaires vintages, des libraires vintages.
Une ville avec des espaces de co-working, des barbiers, des magasins de fringues stylées, des restaurants bio végan ...
Oh, putain, mince, c'est une ville de hipsters, dommage ça avait l'air bien ...


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Koudlam - Benidorm dream (2014)

Alors que, bien située dans le cotes espagnoles, avec un climat clément et méditerranéen, Benidorm pourrait être une sorte de paradis; hélas c'est plutôt une sorte de furoncle, une boursouflure bruyante et putassière. Sérieusement à moins d'aimer l'urbanisation intensive, la promiscuité, la bière chaude, la musique nocturne criarde, les filles et les garçons vulgaires qu'irait-on y faire ? Éventuellement rire des futurs mélanomes des anglais nombreux, ivres morts, endormis sur les plages et rougeoyant (cuisant) à 13h en plein soleil, se moquer des vieux qui pensent promener leur chien alors que ce sont les chiens qui font faire leurs besoins à leur vieux, pouffer vers 3h du mat' quand des gars proches du coma éthylique espèrent "faire des rencontres" dans des peep show ou des sex shop et se livrer aux joies de la copulation, alors qu'ils ne sont plus en état ni de lever un verre, ni leur queue ... Comme le dit avec justesse Koudlam: "it's

Shackleton & Ernesto Tomasini - Rinse out all the contaminants (2016)

Psalmodie moderne pour liturgie contemporaine. Shackleton et ses ambiances solennelles post-apocalyptiques, lentes et profondes s'allie au fantasque chanteur italien, plutôt grave ici, Ernesto Tomasini. Il en ressort ce "Devotional songs" , rituel initiatique sonore aux teintes multiples, toujours envoutantes et immersives. Avec en guise d'introitus à cette messe pour le temps présent dégénéré "Rinse out all the contaminants" ...