Accéder au contenu principal

Skanna - Find me ( 1996)

Une compilation hétéroclite mêlant drum & bass, trip hop, musique africaine, breakbeat ... sans que cela ressemble à un foutoir sans nom.
Pas grand chose à jeter dedans, pour ne pas dire tout à garder (cela va de Francis Bebey à Cujo (aka Amon Tobin) en passant par Trankilou (Ark + Pépé Bradock).
Étant dans une humeur drum & bass, c'est Skanna qui emporte la mise avec Find me, titre élégant tanguant entre douceur vocale et percussion rythmique de bon aloi, ce qui compte tenu du pedigree du bonhomme (John Graham, œuvrant dans le collectif Tilt qui produit de la grosse progressive trance qui tache) est surprenant.
Aussi ne boudons pas notre plaisir !


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Toronto Track Symphony - Livin in da projects (1996)

"You know what I'm talkin' about: playin' music real loud, so the ladies can come over dancin' ..." Tellement simplement entraînant et joyeux qu'on croirait que c'est presque déjà le week-end ...

Shackleton & Ernesto Tomasini - Rinse out all the contaminants (2016)

Psalmodie moderne pour liturgie contemporaine. Shackleton et ses ambiances solennelles post-apocalyptiques, lentes et profondes s'allie au fantasque chanteur italien, plutôt grave ici, Ernesto Tomasini. Il en ressort ce "Devotional songs" , rituel initiatique sonore aux teintes multiples, toujours envoutantes et immersives. Avec en guise d'introitus à cette messe pour le temps présent dégénéré "Rinse out all the contaminants" ...