Cavalcade épileptique que ce Vordhosbn d'Aphex Twin.
Une rythmique échevelée qui part dans tous les sens, un peu comme un éjaculateur précoce qui tenterait de se retenir en vain, à peine arrivé c'est déjà parti.
Puis derrière cette apparente facilité d'accroche beat, il y a souvent sous-jacent chez Aphex un mélange entre mélancolie, mélodie enfantine, naïveté feinte et véritable rouerie dans la conception sonore (précise et affutée), agression auriculaire et concassage du bruit.
Cette impression de flotter dans un souvenir agréable qui serait prêt à vaciller d'un instant à l'autre vers un cauchemar horrifique, une terreur primale.
Une rythmique échevelée qui part dans tous les sens, un peu comme un éjaculateur précoce qui tenterait de se retenir en vain, à peine arrivé c'est déjà parti.
Puis derrière cette apparente facilité d'accroche beat, il y a souvent sous-jacent chez Aphex un mélange entre mélancolie, mélodie enfantine, naïveté feinte et véritable rouerie dans la conception sonore (précise et affutée), agression auriculaire et concassage du bruit.
Cette impression de flotter dans un souvenir agréable qui serait prêt à vaciller d'un instant à l'autre vers un cauchemar horrifique, une terreur primale.
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