Bertrand Burgalat compose un succédané du TEE de Kraftwerk, un morceau répétitif, monotone, tel un train cheminant.
Michel Houellebecq vient y poser sa voix et sa prose, monotones elles aussi.
Alors que le chiant pourrait transpirer, il n'en est rien, nous nous laissons bercer par cette alliance des monotonie, et nous voyageons avec eux "dans le calme, dans un wagon Alstom (...) et nous rêvons du vide."
La poésie de l'absence, du quotidien, du progrès, du paysage qui passe, des banlieues industrieuses, urbanisées et grises, du désir moribond.
La naissance du Kraftbecq, monstre déshumanisé qui narre l'inessentiel du quotidien.
Michel Houellebecq vient y poser sa voix et sa prose, monotones elles aussi.
Alors que le chiant pourrait transpirer, il n'en est rien, nous nous laissons bercer par cette alliance des monotonie, et nous voyageons avec eux "dans le calme, dans un wagon Alstom (...) et nous rêvons du vide."
La poésie de l'absence, du quotidien, du progrès, du paysage qui passe, des banlieues industrieuses, urbanisées et grises, du désir moribond.
La naissance du Kraftbecq, monstre déshumanisé qui narre l'inessentiel du quotidien.
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