Initialement Foudre ! a composé la bande son du film Earth, mais en fait leur musique se suffit pour se faire son propre film ...
Tout commence dans les profondeurs glacées d'un canyon balayé par le blizzard, puis se poursuit dans une course folle à la poursuite d'une aurore boréale.
Ensuite c'est un champs métallique irisé de bleu et de pourpre qui s'offre au regard, avant que subitement cela se transforme en une piscine de lave incandescente où il fait curieusement bon nager. Des drones libellules virevoltants font vrombir leurs ailes translucides.
Une bouffée paranoïaque se répand contaminant de ses spores délétères l'ambiance paisible qui régnait. De la sueur froide coule. C'est le moment où naviguer dans l'incertitude et l'inconfort, le moment du doute.
Pourquoi ?
La réponse vient vite; pour profiter de l'apaisement, fantôme floydien de Pompéi.
Puis surgit une démangeaison électronique, prélude angoissant à une introspection désertique hésitant quant au type de désert chaud, froid ... Inhabité c'est certain, tout comme aride. Mais surprise finalement il s'anime et fourmille de vie, c'est un nouveau monde qui se crée, riche, dense et luxuriant.
La nuit tombe, dense et tiède, il pleut doucement mais paradoxalement très abondamment et peu à peu cette masse d'eau submerge et engloutit tout et disparait.
Il ne reste rien, le public applaudit ...
Tout commence dans les profondeurs glacées d'un canyon balayé par le blizzard, puis se poursuit dans une course folle à la poursuite d'une aurore boréale.
Ensuite c'est un champs métallique irisé de bleu et de pourpre qui s'offre au regard, avant que subitement cela se transforme en une piscine de lave incandescente où il fait curieusement bon nager. Des drones libellules virevoltants font vrombir leurs ailes translucides.
Une bouffée paranoïaque se répand contaminant de ses spores délétères l'ambiance paisible qui régnait. De la sueur froide coule. C'est le moment où naviguer dans l'incertitude et l'inconfort, le moment du doute.
Pourquoi ?
La réponse vient vite; pour profiter de l'apaisement, fantôme floydien de Pompéi.
Puis surgit une démangeaison électronique, prélude angoissant à une introspection désertique hésitant quant au type de désert chaud, froid ... Inhabité c'est certain, tout comme aride. Mais surprise finalement il s'anime et fourmille de vie, c'est un nouveau monde qui se crée, riche, dense et luxuriant.
La nuit tombe, dense et tiède, il pleut doucement mais paradoxalement très abondamment et peu à peu cette masse d'eau submerge et engloutit tout et disparait.
Il ne reste rien, le public applaudit ...
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