1965, Georges Perec publie Les Choses, récit méticuleux d'un couple, de ses aspirations, de ses possessions matérielles et de leur vacuité.
2017, Institut reprend à peu près les choses là où elles étaient restées et narre de manière impersonnelle, distanciée la rencontre entre Laure, "épanouie socialement" et André, "une relation de travail", avec force de détails inutiles. Leurs points communs, leurs aspirations socio-libérales, leurs "caresses qualitatives", leurs références culturelles, leurs analyses creuses.
Au final, plus de cinquante ans plus tard, toujours cette même impression de vide, d'inutilité, une juxtaposition maladroite de solitudes dans une tentative de sexe que l'on devine triste et froid.
Pas d'évolution en définitive, toujours la même recherche de médiocrité du quotidien ...
2017, Institut reprend à peu près les choses là où elles étaient restées et narre de manière impersonnelle, distanciée la rencontre entre Laure, "épanouie socialement" et André, "une relation de travail", avec force de détails inutiles. Leurs points communs, leurs aspirations socio-libérales, leurs "caresses qualitatives", leurs références culturelles, leurs analyses creuses.
Au final, plus de cinquante ans plus tard, toujours cette même impression de vide, d'inutilité, une juxtaposition maladroite de solitudes dans une tentative de sexe que l'on devine triste et froid.
Pas d'évolution en définitive, toujours la même recherche de médiocrité du quotidien ...
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