Deux choses dans ce titre.
D'une part la musique, jazz hip-hop évanescent, joueur et délicat, produit avec classe et retenue (il faut l'admettre, même si c'est rare et que cela provoque quelques douleurs au fondement) par Christophe Le Friant aka Bob Sinclar.
D'autre part les divagations qui peuvent être qualifiées de poético-éthiliquo-branleuses de Jean-Louis Murat.
Car lui seul sait ce que ses paroles veulent dire et pourtant l'auditeur comprend instinctivement leur signification, il y est question d'une rupture et l'auteur en souffre.
La rencontre des deux, musique et paroles (sans oublier leur diction et le timbre distancié/désabusé de Murat) crée une alchimie précaire et bancale nimbée d'un voile de mystère intemporel.
D'une part la musique, jazz hip-hop évanescent, joueur et délicat, produit avec classe et retenue (il faut l'admettre, même si c'est rare et que cela provoque quelques douleurs au fondement) par Christophe Le Friant aka Bob Sinclar.
D'autre part les divagations qui peuvent être qualifiées de poético-éthiliquo-branleuses de Jean-Louis Murat.
Car lui seul sait ce que ses paroles veulent dire et pourtant l'auditeur comprend instinctivement leur signification, il y est question d'une rupture et l'auteur en souffre.
La rencontre des deux, musique et paroles (sans oublier leur diction et le timbre distancié/désabusé de Murat) crée une alchimie précaire et bancale nimbée d'un voile de mystère intemporel.
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