Comme un bourdonnement de violoncelle* déglingué et tourmenté aux tonalités basses avec en contre point douloureux exquis un larsen, une stridence aiguë maîtrisée. De cette opposition nait un inconfort qui paradoxalement provoque une sorte de sérénité, de béatitude.
C'est l'éloge de la lenteur, de la circularité, c'est la dualité de deux mouvement parallèles antinomiques qui soliloquent.
C'est en toile de fond l'évocation de Lilith, figure trouble qui peut être perçue de différentes manières: comme un démon de la nuit hostile et malfaisant ou bien comme une femme indépendante et libre ... tout dépend du point de vue.
*bien qu'aucun violoncelle n'ait été utilisé pour cette pièce, ni aucun "instrument de musique".
C'est l'éloge de la lenteur, de la circularité, c'est la dualité de deux mouvement parallèles antinomiques qui soliloquent.
C'est en toile de fond l'évocation de Lilith, figure trouble qui peut être perçue de différentes manières: comme un démon de la nuit hostile et malfaisant ou bien comme une femme indépendante et libre ... tout dépend du point de vue.
*bien qu'aucun violoncelle n'ait été utilisé pour cette pièce, ni aucun "instrument de musique".
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