Littéralement l'élégie (Elegi ici)est "le chant de mort", un poème dédié aux morts.
Quelque chose de funèbre, solennel, grave, profond, emprunt de tristesse et évoquant l'intemporel pour résumer grossièrement.
Ma grande connaissance du norvégien ainsi que mes compétences linguistiques innées (et les précieuses aident de la traduction faite grâce à internet) me permettent de déduire que "despotiets vesen" peut se traduire en gros par être despotique.
Une brève juxtaposition des deux permet de deviner que l'humour et la gaudriole vont être de la partie.
Pourtant alors que l'austère s'annonce de la partie, c'est le beau qui s'invite, sobre et en retenue, évitant l'emphase et le pompier.
Une piano joué avec parcimonie, quelques cordes qui passent fugacement, du souffle, du "field recording" pour un résultat grave mais pas pesant, aérien même; tout en respiration, en pause, voire en recueillement.
Un despotisme acceptable.
Éclairé peut-être ?
Quelque chose de funèbre, solennel, grave, profond, emprunt de tristesse et évoquant l'intemporel pour résumer grossièrement.
Ma grande connaissance du norvégien ainsi que mes compétences linguistiques innées (et les précieuses aident de la traduction faite grâce à internet) me permettent de déduire que "despotiets vesen" peut se traduire en gros par être despotique.
Une brève juxtaposition des deux permet de deviner que l'humour et la gaudriole vont être de la partie.
Pourtant alors que l'austère s'annonce de la partie, c'est le beau qui s'invite, sobre et en retenue, évitant l'emphase et le pompier.
Une piano joué avec parcimonie, quelques cordes qui passent fugacement, du souffle, du "field recording" pour un résultat grave mais pas pesant, aérien même; tout en respiration, en pause, voire en recueillement.
Un despotisme acceptable.
Éclairé peut-être ?
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