Des échos du Maghreb retentissent, percussions et vents, puis une pulsation puissante lente et minimale s'ajoute, surprenante touche de modernité, un Johnny Lydon de supermarché vient pousser la voix avec des exhortations diverses.
Et c'est là que tout part en couille (déjà que c'était bien allumé) des volutes sonores en strates, des montées qui descendent et hypnotisent, des accidents auditifs pour un résultat entre transe chamanique gavée aux champis, derviches tourneurs imbibés et post punks techno défoncés à la colle à rustines ...
Juste pour trouver un truc à critiquer: le visuel est particulièrement laid et pique les yeux, quel vert fluo ignoble ! Voilà c'est dit.
Et c'est là que tout part en couille (déjà que c'était bien allumé) des volutes sonores en strates, des montées qui descendent et hypnotisent, des accidents auditifs pour un résultat entre transe chamanique gavée aux champis, derviches tourneurs imbibés et post punks techno défoncés à la colle à rustines ...
Juste pour trouver un truc à critiquer: le visuel est particulièrement laid et pique les yeux, quel vert fluo ignoble ! Voilà c'est dit.
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