Une pochette et une cosmologie à rendre Sun Ra vert de jalousie, pas de doute quant aux influences de Black Myth Zone Chant.
Par contre musicalement les deux divergent quoique.
Là où Sun Ra fait dans le free jazz expérimental bruitiste parfois, Black Myth Zone Chant donne dans la free électronique expérimentale bruitiste (mais il se situe lui-même dans une veine free jazz cqfd pour la filiation).
Pour He evil le grésillement devient mélodie puis saturation, des ersatz de vocaux surgissent, impromptus, ces drones deviennent symphonie et sont accompagnés par un rythme lent et primaire, une voix grave, engourdie et pesante accentue l’impression de d'étouffement, de claustrophobie qui transpire, au loin un rai de lumière transparait.
Un espoir ?
Par contre musicalement les deux divergent quoique.
Là où Sun Ra fait dans le free jazz expérimental bruitiste parfois, Black Myth Zone Chant donne dans la free électronique expérimentale bruitiste (mais il se situe lui-même dans une veine free jazz cqfd pour la filiation).
Pour He evil le grésillement devient mélodie puis saturation, des ersatz de vocaux surgissent, impromptus, ces drones deviennent symphonie et sont accompagnés par un rythme lent et primaire, une voix grave, engourdie et pesante accentue l’impression de d'étouffement, de claustrophobie qui transpire, au loin un rai de lumière transparait.
Un espoir ?
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