Une guitare ayant subie les affres du temps et ne produisant qu'un grésillement souffreteux s'allie à un clavier monophonique antédiluvien et à des percussions neurasthéniques pour produire une étrange musique inimaginable rencontre entre de la musique médiévale sous valium, un succédané de musique celtique, industriel abâtardi, musique rituelle dont il convient de ne pas connaitre la destination et ersatz de musique noise mais calme.
Ne manque que l'essentiel, la voix: profonde, solennelle, mais également à la limite de l'emphatique voire du surjoué, un exercice à la limite de la catastrophe qui touche au beau.
Ne manque que l'essentiel, la voix: profonde, solennelle, mais également à la limite de l'emphatique voire du surjoué, un exercice à la limite de la catastrophe qui touche au beau.
Commentaires
Enregistrer un commentaire