Il serait fâcheux de confondre Bonga, le musicien angolais, avec les bonga bonga de l'italien Silvio.
Chacun des deux recherche une pénétration en profondeur, mais l'un vise l'âme et l'autre le sordide.
Par conséquent biffons Silvio d'un vif trait et consacrons-nous à Bonga.
Bonga et son Mona ki ngi xica c'est de la chaleur auditive, du bien être en musique. C'est des paroles dont quand bien même on ne comprend pas le sens parlent à l'âme, évoquent la tristesse et gravité.
Des paroles intuitivement introspectives, qui invitent à s'arrêter, à prendre le temps, à réfléchir, à rêver, à profiter de l'instant.
Chacun des deux recherche une pénétration en profondeur, mais l'un vise l'âme et l'autre le sordide.
Par conséquent biffons Silvio d'un vif trait et consacrons-nous à Bonga.
Bonga et son Mona ki ngi xica c'est de la chaleur auditive, du bien être en musique. C'est des paroles dont quand bien même on ne comprend pas le sens parlent à l'âme, évoquent la tristesse et gravité.
Des paroles intuitivement introspectives, qui invitent à s'arrêter, à prendre le temps, à réfléchir, à rêver, à profiter de l'instant.
Commentaires
Enregistrer un commentaire