Une inquiétude sourde et diffuse, un sentiment d’oppression indistinct voilà ce qui se dégage de ce Hidden camera.
Cela est augmenté par le visuel de la pochette, un écran de contrôle pour paranoïaque en mal de voyeurisme.
Musicalement c'est comme si un orchestre de jazz mutant composé de psychopathes jouait chacun dans son coin et que l'ensemble sonnait cohérent: un improvisateur métronomique à la batterie, un bassiste monomaniaque qui joue trois notes et s'occupe aussi du piano (3 notes également), un flippé aux claviers et nappes angoissantes, un cliquetis de briquet type Zippo ou un pistolet qu'on arme va savoir avec les paranos et enfin parfois une sorte de cris indéfini.
Cela est augmenté par le visuel de la pochette, un écran de contrôle pour paranoïaque en mal de voyeurisme.
Musicalement c'est comme si un orchestre de jazz mutant composé de psychopathes jouait chacun dans son coin et que l'ensemble sonnait cohérent: un improvisateur métronomique à la batterie, un bassiste monomaniaque qui joue trois notes et s'occupe aussi du piano (3 notes également), un flippé aux claviers et nappes angoissantes, un cliquetis de briquet type Zippo ou un pistolet qu'on arme va savoir avec les paranos et enfin parfois une sorte de cris indéfini.
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