Accéder au contenu principal

Salem - King night (2010)

Au grand concours du Challenge International du Joyeux Drille, Salem a lamentablement perdu.
Dès la première épreuve, celle où il faut raconter une histoire de Toto.
Il faut dire que celle où Toto se fait décapiter après avoir été torturé et violé par un pédophile néo-nazi n'était pas très drôle ...
Disqualifiés direct !
Pourtant question ambiance ils s'y connaissent les Salem, prenons l'exemple de King night chargé de plomb, saturé, étouffant, désespéré et vain, sorte d'opéra pour goule dépressive défoncée au sirop codéiné cher aux rappeurs du sud des USA, avec ce qu'il faut de grandiloquence presque lumineuse et mal placée pour éviter la faute de goût (et même l’impression parfois d'entendre une version malfaisante de  ... Minuit chrétien !!??).


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Toronto Track Symphony - Livin in da projects (1996)

"You know what I'm talkin' about: playin' music real loud, so the ladies can come over dancin' ..." Tellement simplement entraînant et joyeux qu'on croirait que c'est presque déjà le week-end ...

Shackleton & Ernesto Tomasini - Rinse out all the contaminants (2016)

Psalmodie moderne pour liturgie contemporaine. Shackleton et ses ambiances solennelles post-apocalyptiques, lentes et profondes s'allie au fantasque chanteur italien, plutôt grave ici, Ernesto Tomasini. Il en ressort ce "Devotional songs" , rituel initiatique sonore aux teintes multiples, toujours envoutantes et immersives. Avec en guise d'introitus à cette messe pour le temps présent dégénéré "Rinse out all the contaminants" ...