Au grand concours du Challenge International du Joyeux Drille, Salem a lamentablement perdu.
Dès la première épreuve, celle où il faut raconter une histoire de Toto.
Il faut dire que celle où Toto se fait décapiter après avoir été torturé et violé par un pédophile néo-nazi n'était pas très drôle ...
Disqualifiés direct !
Pourtant question ambiance ils s'y connaissent les Salem, prenons l'exemple de King night chargé de plomb, saturé, étouffant, désespéré et vain, sorte d'opéra pour goule dépressive défoncée au sirop codéiné cher aux rappeurs du sud des USA, avec ce qu'il faut de grandiloquence presque lumineuse et mal placée pour éviter la faute de goût (et même l’impression parfois d'entendre une version malfaisante de ... Minuit chrétien !!??).
Dès la première épreuve, celle où il faut raconter une histoire de Toto.
Il faut dire que celle où Toto se fait décapiter après avoir été torturé et violé par un pédophile néo-nazi n'était pas très drôle ...
Disqualifiés direct !
Pourtant question ambiance ils s'y connaissent les Salem, prenons l'exemple de King night chargé de plomb, saturé, étouffant, désespéré et vain, sorte d'opéra pour goule dépressive défoncée au sirop codéiné cher aux rappeurs du sud des USA, avec ce qu'il faut de grandiloquence presque lumineuse et mal placée pour éviter la faute de goût (et même l’impression parfois d'entendre une version malfaisante de ... Minuit chrétien !!??).
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