Sèche, c'est le premier mot qui me vient à l'esprit pour décrire la musique de Swell.
Sèche car elle est sans gras superflu, quasi décharnée, sèche car il s'en dégage une certaine aridité, sèche aussi car un vent chaud semble la traverser.
C'est également une musique de paradoxe, écrite en milieu urbain, à San Fransisco, elle semble pourtant évoquer les grand espaces désertiques avec un soleil faiblard, déclinant après une journée suffocante et torride; en même temps elle chante les bas-fonds de la ville, les bars borgnes, les docks désertiques tout en étant emplie de sérénité.
La musique des déserts urbains ?
Sèche car elle est sans gras superflu, quasi décharnée, sèche car il s'en dégage une certaine aridité, sèche aussi car un vent chaud semble la traverser.
C'est également une musique de paradoxe, écrite en milieu urbain, à San Fransisco, elle semble pourtant évoquer les grand espaces désertiques avec un soleil faiblard, déclinant après une journée suffocante et torride; en même temps elle chante les bas-fonds de la ville, les bars borgnes, les docks désertiques tout en étant emplie de sérénité.
La musique des déserts urbains ?
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