Musicalement c'est dans la tradition française de la pop à cordes un peu emphatique/grandiloquente (qui a dit Michel Legrand ?), mais ça tient la route.
La voix est elle dans la tradition des chanteurs sans voix à la Delerm.
Pour les paroles, c'est un peu comme écouter un discours de Bayrou (ou pire un discours de radsoc), un étalage de culture centriste, triste.
Si ça se trouve, le petit Arnaud vivait dans une maison "Tout-pareil" - le genre de maison ou tu rentres chez toi sobre car sinon tu risques de te retrouver dans le lit de ton voisin par inadvertance - dans une magnifique et florissante zone pavillonnaire bien proprette en banlieue d'une ville nouvelle.
Un peu déprimant, plein d'amour, jouant au tennis, renfermé. Il ne manque que Giscard qui vient chez toi, un dimanche pluvieux d'automne, pour mater l'école des fans spéciale Guy Béart et boire une camomille avec les darons pour envisager l'autolyse.
La voix est elle dans la tradition des chanteurs sans voix à la Delerm.
Pour les paroles, c'est un peu comme écouter un discours de Bayrou (ou pire un discours de radsoc), un étalage de culture centriste, triste.
Si ça se trouve, le petit Arnaud vivait dans une maison "Tout-pareil" - le genre de maison ou tu rentres chez toi sobre car sinon tu risques de te retrouver dans le lit de ton voisin par inadvertance - dans une magnifique et florissante zone pavillonnaire bien proprette en banlieue d'une ville nouvelle.
Un peu déprimant, plein d'amour, jouant au tennis, renfermé. Il ne manque que Giscard qui vient chez toi, un dimanche pluvieux d'automne, pour mater l'école des fans spéciale Guy Béart et boire une camomille avec les darons pour envisager l'autolyse.
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