Il faut quand même être un peu fêlé pour faire revivre le trajet d'un train, aujourd'hui disparu, traversant d'ouest en est le Mexique et cela de surcroit en n'enregistrant que des sons naturels (à une exception près, celle qui nous concerne).
La tâche peu sembler ardue et vaine.
Quel en est effectivement l'intérêt et qui va écouter cela ?
Cela nécessite un art de la "composition" affirmé, pas loin de l'ethnographie, pour créer une histoire et garder un fil narratif qui emporte l'auditeur.
Chris Watson réussit a dépeindre un paysage sonore fourmillant d'une infinité de détails qui ponctuent ce trajet.
Et puis il y a El divisadero qui balance entre continuité dans ce voyage et divagation quasi techno. Le roulement monotone du train devenant la pulsation vitale.
Il va sans dire qu'une écoute au casque est recommandée sinon nécessaire ...
La tâche peu sembler ardue et vaine.
Quel en est effectivement l'intérêt et qui va écouter cela ?
Cela nécessite un art de la "composition" affirmé, pas loin de l'ethnographie, pour créer une histoire et garder un fil narratif qui emporte l'auditeur.
Chris Watson réussit a dépeindre un paysage sonore fourmillant d'une infinité de détails qui ponctuent ce trajet.
Et puis il y a El divisadero qui balance entre continuité dans ce voyage et divagation quasi techno. Le roulement monotone du train devenant la pulsation vitale.
Il va sans dire qu'une écoute au casque est recommandée sinon nécessaire ...
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