Accéder au contenu principal

Impulsion - The trip (1998)

Il y a quelques temps j'évoquais Impulsion et leur facilité à faire danser les plus sourds et paraplégiques d'entre vous; je récidive aujourd'hui avec leur titre The Trip.
Un peu plus pompier que le précédent mais toujours efficace il sera difficile une fois encore de résister à leur science pour provoquer la sudation chez leurs auditeur d'autant plus si vous regardez leur vidéo.
Oui la vidéo est un moteur supplémentaire pour apprécier ce morceau.
De prime abord cela ressemble à un paisible et inoffensif pic-nique champêtre où animaux en peluches et poupées de chiffons mangent et dansent au son de The Trip, première anomalie: un oiseau assure les parties vocales; puis la poupée en chiffon commence à s’exciter sur la zic et se fait chauffer par le lion en peluche, le lapin frétille des oreilles, la souris est un peu vénère et va rosser le lion puis ça part en sucette grââve (il y a une p*rtouze bis*xuelle entre les peluches puis le chat dealer apporte space cake et pilules extatiques, bref un beau bordel décadent).
Indispensable !


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Les Olivensteins - Fier de ne rien faire (1979)

La lutte par la fainéantise ! Il y en a marre de cette incantation au travail, plus, plus longtemps, bientôt jusqu'à la mort, voire même après; parti comme c'est tu vas léguer des trimestres à cotiser à tes gamins ... Allez vous faire bien cuire le cul ! C'est pas ça la vie.  La vie c'est contempler les étoiles pendant qu'on le peut encore, c'est refaire le monde avec des gens autours d'un verre, c'est se balader dans la nature, c'est faire l'amour, c'est lire  ... Alors il est grand temps de faire "l'éloge de l'oisiveté" , de revendiquer "le droit à la paresse" , de faire "l'apologie la paresse" et de voir cette "paresse comme vérité effective de l'homme" . Soyons fier de ne rien faire ! Je veux ce disque !     Euthanasie - Fier - Négatif : Ep by Les Olivensteins

Piero Umiliani - Open space (1970/1973)

De l'insouciance, de la légèreté, un brin de folie et une once de surprise. C'est quitter Rome à bord d'une Alfa Romeo Spider au milieu de la nuit, cheveux au vent, bien accompagné, des bouteilles de Champagne pour tenir la distance. Direction la mer, puis longer la côte, glisser jusqu'au petit matin. La musique à fond jusqu'à ce que ivre d'alcool, de vitesse, de liberté et de fatigue il faille s'arrêter, surtout à cause d'une panne d'essence. Une belle folie, qui en valait la peine ...

Badder than evil - Hot wheels (the chase) (1973)

La disparition du vengeur masqué (mais qui est-il ?). Triste nouvelle, le mystérieux vengeur masqué est mort.  Enfin masqué, il ne l'a pas toujours été, vengeur non plus d'ailleurs. Par contre musicien il l'était. Avec au final une œuvre foisonnante et diverse (pour ne pas dire hétéroclite). Ici il s'implique à visage demi couvert. Sous le pseudonyme d'Andy Badale, soit pas très loin de sa véritable identité ... Au menu un titre qui déchire, du beat qui envoie du lourd, du groove poisseux, un classique des samples de breakbeat. Assez loin de ce qu'il fera par la suite, plus vaporeux. Hélas il est mort, David Lynch est inconsolable, Angelo Badalamenti est mort et c'est triste ...