Un titre du trompettiste norvégien Nils Petter Molvaer, en fait deux "interludes" sur l'album où un délicat piano sert d'écrin à la voix aérienne de Sidsel Arnesen, magnifié par Matthew Herbert.
Herbert préserve la fragilité et la douceur initiales du morceau pour faire de ce deux fois une minute un périple de deep house bricolée et triturée de six minutes.
Entre beat boiteux, découpes aléatoires, fractures mélodiques et micro silences ...
Une respiration apaisée.
Herbert préserve la fragilité et la douceur initiales du morceau pour faire de ce deux fois une minute un périple de deep house bricolée et triturée de six minutes.
Entre beat boiteux, découpes aléatoires, fractures mélodiques et micro silences ...
Une respiration apaisée.
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