Des lumières blafardes, quelques enseignes criardes, la réverbération des phares dans les flaques d'eau, le froid piquant et l'humidité ambiante.
Le pas réglé sur le rythme métronomique, l'errance nocturne commence.
Traverser la ville, sans but si ce n'est avancer, lever les yeux et observer les endormis, tenter de deviner ce qu'il se passe dans le sombre, à l'écart .
Croiser les poivrots, les fêtards, les pressés, les inquiets, les forts en gueule, les fatigués et tous leurs semblables
Progresser, marauder, marcher, arpenter ...
Puis alors que la vie reprend au petit matin, que les quidams vont au turbins, agglutinés dans les transport en commun, s'arrêter, fatigué, rentrer et se pieuter.
Le pas réglé sur le rythme métronomique, l'errance nocturne commence.
Traverser la ville, sans but si ce n'est avancer, lever les yeux et observer les endormis, tenter de deviner ce qu'il se passe dans le sombre, à l'écart .
Croiser les poivrots, les fêtards, les pressés, les inquiets, les forts en gueule, les fatigués et tous leurs semblables
Progresser, marauder, marcher, arpenter ...
Puis alors que la vie reprend au petit matin, que les quidams vont au turbins, agglutinés dans les transport en commun, s'arrêter, fatigué, rentrer et se pieuter.
Commentaires
Enregistrer un commentaire