Du spleen, du triste, du lugubre, du répétitif échappé d'un genre en -ave, batcave, coldwave, new wave, betterave (ah, non!) ...
Pourtant la fascination opère, peut-être par hypnotisme avec ce rythme monotone, imperturbable, rêche, sec et ces quelques notes de guitare et ce riff de basse répétés ad libitum qui confinent au psychédélisme triste et donc délectable.
La voix masculine laisse planer l'ombre tutélaire de Ian Curtis tandis que celle féminine évoque une Lisa Gerrard cantonnée au chœurs et aux vocalises.
Pourtant la fascination opère, peut-être par hypnotisme avec ce rythme monotone, imperturbable, rêche, sec et ces quelques notes de guitare et ce riff de basse répétés ad libitum qui confinent au psychédélisme triste et donc délectable.
La voix masculine laisse planer l'ombre tutélaire de Ian Curtis tandis que celle féminine évoque une Lisa Gerrard cantonnée au chœurs et aux vocalises.
Commentaires
Enregistrer un commentaire